Ce n’est pas un secret, la NASA s’intéresse de près à l’impression 3D, et pas que pour faire des pizzas. Elle travaille à la création de différentes pièces de fusées et d’autres engins destinées à être utilisés dans l’espace. Logique, les imprimantes 3D permettant de créer sur mesure des pièces nécessaires sans pour autant allonger les délais. L’industrie est donc cliente de ces machines, la NASA en tête, et contribuent beaucoup à innover dans ce secteur. Cette fois, la NASA a testé des pièces imprimées en 3D dans un moteur de fusée, et les résultats ont été très concluants.
C’est Space.com qui nous relaie cette information. C’est précisément un injecteur qui a été utilisé, il s’agit de la plus grosse pièce testée jusque là. Une poussée de 10 tonnes aurait été exercée lors du passage de l’oxygène et de l’hydrogène dans l’injecteur. Ce dernier a été créé via une technique de fabrication laser visant à faire fondre de fines couches de nickel chrome, à base de poudre. Pour vous rendre compte de l’intérêt de la chose, cet injecteur a été créé à partir de deux pièces seulement, contre 115 pièces pour le modèle testé précédemment. Moins de pièces, donc moins cher ! La NASA a déclaré que cela pourrait permettre d’ouvrir la voie à la production de pièces moins chères et donc à la baisse du coût des voyages dans l’espace. Un enjeu majeur, donc. Et ce n’est qu’un début, des pièces plus grandes et plus nombreuses devraient être bientôt testées.
La réalisation de vidéos à partir d’objets imprimés en 3D n’a beau pas être quelque chose d’entièrement nouveau, le projet du cinéaste français Gilles-Alexandre Deschaud n’en...
La plupart des imprimantes 3D Grand public dont on vous parle sur Mon Univers 3D repose sur un système d’impression appelé le FDM (Fused Deposition Modeling)....
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des publicités ciblées adaptées à vos centres d’intérêts et réaliser des statistiques de visites : J'accepteEn savoir plus